Vous avez la possibilité de partir à l’étranger mais n’osez pas franchir le pas ? C’était le cas de Mallaury Martin, étudiante en Master’s Programme in Global Politics and Communication, qui est partie vivre sa première année à Helsinki, en Finlande. 

Mallaury Martin est en Finlande depuis septembre dernier. Diplômée d’une licence information-communication, spécialisation communication des organisations, à l’Université Lumière Lyon 2, elle décide de partir notamment pour améliorer son niveau d’anglais. « L’anglais est très important aussi bien dans le secteur professionnel que dans le type d’entreprises que je vise« . 

La jeune étudiante de 22 ans n’a pas choisi le pays le plus facile. Tout d’abord, « la culture est totalement différente« , il faut donc s’adapter. Le choix du pays dans lequel vous irez passer toute une année est important car il faut vous sentir bien ! 

Etonnament, elle nous apprend que les Finlandais ne sont pas les plus joyeux, la vie est chère. « Le ciel est gris et la nuit tombe à 15h30« . De quoi déprimer…

Mais ne vous inquiétez pas, Mallaury est finalement très heureuse. Elle précise, « la Finlande correspond totalement à mes attentes« .

Les paysages, plus beaux les uns que les autres, ont de quoi mettre du baume au coeur. Quoi de mieux que de visiter la Finlande et ses îles, tout comme Mallaury ? « Entre les forêts à perte de vue, les saunas suivis de baignades dans les lacs gelés, les barbecues sauvages, les visites dans les musées, on n’a pas le temps de s’ennuyer !« 

Erasmus est aussi l’occasion de faire des voyages. « Nous prenons aussi cette année comme une occasion de visiter l’Europe. Pour le moment, nous avons fait l’Estonie. Nous pensons aussi faire la Norvège, la Suède, la Russie et la Laponie« .

Les examens 

La méthode d’enseignement est différente de celle en France. « Tous les niveaux sont notés sur 5, sachant que pour eux avoir 1 signifie avoir la moyenne et valide la matière (1=10, 2= 12, 3=14, … », explique la jeune fille. 

La méthode d’évaluation est également peu commune. « C’est souvent une présentation orale et un essai, de 5 à 15 pages, à rendre un mois après la fin du cours« . 

Les bons côtés 

Pas d’autorité parentale, pas de couvre-feu et des soirées étudiantes à ne pas en finir. Mallaury met un point d’honneur sur ces dernières, « les soirées étudiantes sont un point très important« . Mais attention, en Finlande, « la carte d’identité est obligatoire pour TOUT. Que ce soit l’alcool ou les boîtes de nuit, c’est interdit aux moins de 21 ans« . Pour elle, « tu ne pas avoir vraiment le mal du pays parce qu’il y a toujours des choses à faire« . 

Farah Ben Mimoum raconte son expérience !